Transformers 2 la revanche (Transformers: Revenge of the Fallen)

© Paramount Pictures France
Le second volet tant attendu des Transformers.
Il y a deux ans, les Autobots et les Decepticons ont mené une guerre sur Terre. En effet, ces deux clans d'une race de robots extraterrestre sans planète se sont retrouvé sur Terre pour mener cette guerre. Dans le premier volet, Transformers, les Autobots avaient gagné avec l'aide du jeune Sam la première bataille, mais la guerre est loin d'être fini, surtout lorsque l'on sait qu'elle dure depuis des millénaires. Voilà un petit rappel, pour bien comprendre la suite. Ce second film est vraiment à la hauteur du premier et on ne perd rien du premier volet avec comme toujours nos chers Autobots comme Bumblebee ou Optimus Prime. Avec d'autres ils se sont associés aux humains pour combattre les Decepticons. Malgré que les G.I. aient sortis le drapeau américain pour aider les Autobots, le film est parfait. Le scénario et les effets spéciaux tiennent la route. L'idée de voir des robots se transformer en voiture, camion ou avion, peut vous paraître puérile, mais ça fonctionne à merveille dans ce style de film. On en redemande.
Vivement la prochaine bataille...car vous pensez bien, cette guerre ne peut s'achever.

Hanté par ses ex (Ghosts of girlfriends past)

© Metropolitan FilmExport Matthew McConaughey
Le cliché du beau gosse américain. Tout est dis.
Matthew McConaughey dans le rôle du play boy américain, faut avouer que le rôle lui va bien. Connor Mead est un photographe a succès. Au mariage de son petit frère, il retrouve un petit échantillon des ses ex, dont celle qui a été son seul amour. Mais très vite certaines de ses ex reviennent à lui pour lui rappeler son comportement de play boy. Le scénario n'est pas très subtile, mais l'acteur compense un peu se manque. C'est une comédie américaine alors pas la peine de se torturer l'esprit pour deviner la fin du film...et ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfant.

Amerrika (Amreeka)

© Memento Films Distribution Nisreen Faour et Melkar Muallem
Mouna a une bonne situation et vit en Palestine, un territoire que le monde à laissé sans nationalité. Elle vit seule avec son fils adolescent. Jour après jour, il est difficile pour cette femme de survivre sans son mari et face à un mure qu'il faut contourner par des postes de contrôles Israéliens. Un jour, elle reçoit une lettre l'autorisant à s'installer aux USA. Les voilà donc, elle et son fils partis pour les USA chez sa soeur installée là-bas depuis 15 ans. Elle imagine vite trouver le même travail et une bonne situation. Mais la désillusion est grande puisque l'histoire se passe juste pendant le début de la guerre d'Irak. On imagine très bien comment va être accueilli cette femme dans ce pays et également comment sera perçu son fils dans son nouveau lycée. Le film est simple et ne refait pas le monde. Mais cette simplicité nous montre une réalité intéressante sur un peuple rejeté par tous, car le monde en a décidé ainsi. Le film nous fait aussi le portrait des américains à travers le regard de Mouna, un portrait également réaliste puisqu'il y a de tout dans ce pays, le pire comme le meilleur.
Le sujet de ce film n'est pas rare, mais ce film oui, car celui-là nous montre une histoire de Palestinien.

Ce cher mois d'août (Aquele querido mes de agosto)

© Shellac Fabio Oliveira et Sonia Bandeira
Vivement le mois d'août que l'on parte en vacance. Ou ça ? Au Portugal bien sûre, car il s'en passe des choses au Portugal pendant le mois d'août.
Forcément, pour ceux qui connaissent, l'intrigue se passe dans les villages du nord du Portugal. Le film mélange à la fois le documentaire et la fiction et on ne sait plus trop ou est la limite entre les deux. On va passer tout le mois d'août dans ces villages qui voient leur population exploser avec le retour des immigrés pour les vacances. L'ambiance et les atmosphères sont assez bien filmées dans ce film car on retrouve vraiment tout ce qui se passe dans ces régions pendant ce mois si particulier et unique de l'année. Le film va nous raconter ce mois par des histoires et des anecdotes. Ce sont les personnages eux même qui vont nous raconter ces histoires. Personnages de fictions ou personnes réelles, on ne sait plus, mais ce qui est sûre c'est que ces histoires là sont bien réelles et connus de tous ceux qui ont passé le mois d'août eu Portugal. Le film utilise un moyen particulier pour nous emmener dans ce voyage. Ces histoires nous sont racontées à travers la musique. C'est à travers les bals de villages que se réunissent tout ce petit monde. Le film dure 2h30, il est parfois à la limite de l'expérimentale, mais au final, si on s'accroche, le film arrive à nous emmener dans un documentaire à travers une histoire de fiction.
La fin est une réelle surprise car elle est tellement surréaliste et surprenante, qu'à elle seule elle vaut le détour.
Tous les immigrés et fis d'immigrés portugais (que l'on appel "émigrés" pendant un mois) vont se retrouver dans ce film. Pour les autres, c'est l'occasion de voir ce qui se passe dans ce pays, ou du moins, de voir comment le cinéma portugais le met en scène, et là c'est déjà plus rare.

Sunshine Cleaning

© Surreal Distribution Amy Adams et Emily Blunt
Les américains comme ils sont, tout simplement.
Albuquerque, une ville banale et typiquement américaine du Middle ouest. Rose fait des ménages pour élever son fils, qui ne semble pas avoir de père. Rose était la reine du lycée, pompom girl et sortait avec le capitaine de l'équipe de football, une vie rêvée pour les lycéennes américaines. Sauf qu'aujourd'hui elle est bien loin de la réussite «sociale» de ses anciennes amies du lycée. Elle décide de monter avec sa soeur une entreprise. Elle se démène comme elle peut dans son nouveau job, nettoyer les lieux après le décès d'une personne. On retrouve un peu l'ambiance de Little miss sunshine dans ce film. Ce n'est pas un hasard, puisque se sont les mêmes personnages, je parle des vrais américains, qui ne sont pas que des adeptes de drapeaux américains. Quoi qu'il en soit, ce film est un petit rayon de soleil, plein d'humour malgré la base dramatique du film. Mais ce qui fait de ce film une réussite est la présence et la simplicité des acteurs et des personnages.
Ce n'est pas un film hollywoodien, ce n'est qu'un film sur le pays appelé USA.

Mariage à l'Islandaise (Sveitabrúðkaup)

© Memento Films Distribution
Le mariage est l'union de deux personnes. Cela vous semble évident, mais alors pourquoi organise t-on des cérémonies avec tous ces gens, toutes ces familles et les amis ?
En Islande, les mariages sont comme partout, un couple, deux familles, des amis et une cérémonie à l'église. C'est assez classique, si ce n'était le mode de transport pour se rendre à la cérémonie. Deux bus sont affrétés, un pour la marié est ses invités et l'autre pour le marié et ses invités également. Tout ce petit monde par dans la nature pour célébrer cet heureux événement dans une petite église perdue dans l'immensité de l'Islande. Mais un imprévu vas arriver, les bus vont se perdre. Cet événement va permettre aux passagers de se connaître, d'autres vont péter les plombs, des détails et des grands secrets vont se révéler. Enfin, bref, on oubli le mariage pour s'intéresser à tout ce petit monde, où chacun tente de faire face à sa vie et ses problèmes, la vie quoi !
Super petit film Islandais, plein d'humour complètement décalé au milieu des Fjords.

Ne te retourne pas

© Wild Bunch Distribution Sophie Marceau et Monica Bellucci
La table de la cuisine a changer de place. Et si ce n'était pas la table qui avait changer, mais tout ce qu'il y a autour.
Jeanne est écrivain et elle viens d'écrire un livre sur son enfance. Un jour, elle demande a son mari pourquoi il a changer la table de la cuisine de position. Très vite, elle ne reconnait plus son appartement, son mari et ses enfants. La folie semble s'être emparé de Jeanne qui se retrouve petit à petit dans une vie et un corps qu'elle ne connaît pas. Avec ce film, on entre avec Jeanne dans un monde complètement fou. On s'imagine facilement l'intrigue. Mais la réussite de ce film, c'est qu'on se perd dans notre idée de l'intrigue et le scénario du film nous réserve des surprises inimaginables. Ce film est vraiment excellent. Visuellement avec des décors qui pour le coup deviennent important, et le jeux de la transformation du corps de Jeanne. On a vite hâte de voir et comprendre comment et pourquoi Sophie Marceau va se transformer en Monica Bellucci. Le jeux des deux actrices est vraiment impressionnant et à la hauteur de cette incroyable intrigue.
Un très bonne surprise pour Jeanne, mais également pour nous.

Jaffa (Kalat Hayam)

© Rezo Films Dana Ivgy
Cela doit se passer comme ça à Jaffa.
Mali et Toufik filent le parfait amour et ils ont plein de projet surtout depuis que Mali est enceinte. Cette histoire d'amour serait parfaite si elle était vécu au grand jour et non cachée. Mali est juive et Toufik est arabe. Mali vie avec ses parents et son frère qui tiennent un garage. Ils ont deux employés arabe qui sont Toufik et son père. La tension monte entre le fils arabe et le fils juif. Malgré tout Mali et Toufik s'aime. Mais un jour un drame survient. Malgré les aléa de la vie, le silence de cet amour ne peut être rompu comme si cette amour était le pire de tous les drames. On s'attend à voir et revoir le même sujet sur Israël et la Palestine, entre les juifs et les arabes. Mais le film n'est pas que cela. Il est plus fort avec cette jeune fille qui doit vivre sa double vie sans jamais rien dire.
Malheureusement, le silence est la règle car vivre cet amour, est pire que tout dans ce pays entre ces deux peuples. Le film est fort.

Story of Jen

© Ad Vitam Laurence Leboeuf
Les contrés sauvages peuvent cacher des drames.
Jen a 15 ans et vit à Covina un lieu perdu dans l’Amérique du nord prêt des immensités montagneuses. Jen est une fille à part qui vit seule avec sa mère suite à la disparition récente de son père. Elle est isolée du monde dans ce coin perdu, tout comme elle est isolé des autres adolescentes de son âge. Sa mère héberge le demi-frère de son mari. Jen vois en cet homme, quelqu’un qui la fascine et qui lui permet de s’évader de ce monde qui ne la correspond pas. Très vite, les gens parlent sur le fait qu’un inconnu soit hébergé chez Jen et sa mère. Ce film est assez simple et repose à la fois sur les personnages et le lieu. Le film traite de l’adolescence à travers un drame qui va changer pour toujours la vie de Jen. Le film met aussi en relation les personnages et les lieux qui sont l'immensité de cette nature du nord du continent américain avec sa froideur et sa dureté.
Un très bon film, mais il n’intéressera pas grand monde.

Antichrist

( - 16 ans )© Les Films du Losange Willem Dafoe et Charlotte Gainsbourg
Un couple fait l'amour. Pendant ce temps, sans surveillance, leur enfant meurt. Ce drame va anéantir ce couple. La femme plonge dans la douleur et la culpabilité. Son mari l'emmène à Eden, dans un chalet isolé en forêt. Petit à petit, on plonge avec ce couple et cette nature étrange dans la douleur et la psychose de ce deuil. Si on soupçonne assez facilement que ce film est dérangeant, on est loin d'imaginer à quel point ce film est malsain et très dérangeant. Tout dans ce film est assez horrible et insupportable, les personnages, les corps, les situations et ce deuil étrange et indescriptible. N'allez pas voir ce film, car il va vous déranger au plus haut point. Ceux qui iront quand même, ne verrons pas certaines scènes, tellement ces dernières sont insupportables au point de fermer les yeux.
Mais c'est peut être tout cela, qui fait que ce film est à voir. En tout cas, il n'y a pas de doute, vous détesterez ce film, si vous arrivez jusqu'à la fin ou vous l'aimerez, mais aucun autre sentiment ne sera possible avec ce film.

Departures (Okuribito)

© Metropolitan FilmExport Masahiro Motoki
La mort fait partie de toute vie. C'est bien un film sur la vie et non la mort.
Après un échec professionnel, Daigo Kobayashi retourne avec sa femme dans sa petite ville natale pour y retrouver un emploi. Chose qu'il ne tarde pas à trouver. Il se retrouve embaumeur de corps. Le hasard le mène petit à petit à découvrir un monde qu'il ne connaît pas, celui de la mort. Le film Japonais au sommet de son art, nous offre plus de 2 heures de pur bonheur avec le film qui dépasse tout ce que l'on pouvait attendre. La situation de cette homme dans cette situation nouvelle pour lui est faite avec autant d'humour que de sentiment et de passion. On découvre avec ce film l'importance pour les Japonais du passage et de la préparation des corps des morts vers la mort. Le sujet ne paraît peut être pas très gaie, mais le contraire ce produit. La mort fait partie de la vie et c'est bien la vie qui ici est présenté. Même en passant presque 2 heures à avoir les larmes à l'oeil, le film n'en est pas moyen fabuleux.
Ce film est à voir, car il est loin de ce que vous pourrait imaginer. Un vrai petit bijou à la Japonaise.

Star Trek

© Paramount Pictures France Chris Pine
Et de 6 ... Cela se passe de commentaires !
"Espace, frontière de l'infini vers lequel voyage notre vaisseau spatial. Sa mission : Explorer de nouveaux mondes étranges, découvrir de nouvelles vies, d'autres civilisations, et au mépris du danger, reculer l'impossible."
Respect pour ce film qui a osé s’attaquer aux origines de cette série culte. Pour petit rappel cette série a commencé en 1966. Peut-être que vous faite parti de ceux qui ont connu cette série dans un petit téléviseur en noir et blanc et vous deviez être fasciné par les aventures du vaisseau Enterprise et de son équipage. Pour l’époque cette série était parfaite et révolutionnaire. Ce film retrace le début de l’Enterprise avec son premier voyage et avec l’arrivé de son nouvel équipage. La perfection a atteint ce film qui est à l’image de la série. La seule différence c’est l’adaptation à un grand écran de cinéma en couleur et avec des effets spéciaux. Mais les fondamentaux de la série sont présent et sont les moteurs de ce film. La base même de la série est son équipage. Capitaine Jim Kirk, un capitaine qui dirige avec son âme et ses émotions, le second et légendaire Monsieur Spock, dont ses origines Vulcaine lui donne une capacité de réflexion et d’intelligence supérieur, le Docteur Mac Coy, l’officier technique Monsieur Scott, l’officier des communications Mademoiselle Uhura et ceux qui sont au commande de l’Enterprise, Messieurs Sulu et Tchekov. A eux 7, ils forment le noyau dur de cette série. Mais le reste est aussi présent, le vaisseau, les fameuses téléportations, la découverte du mystère de la planète Vulcain et le lien particulier entre Spock et Kirk. Rien n’est laissé au hasard dans ce film, scénario, personnages, acteurs, vaisseaux, détail de l’architecture. Ce film est un amoncellement de perfections.
Il y a tout pour combler les trekkers dans ce film, et les novices trouveront un film de science-fiction très réussi et abouti. Ce film vous donnera des frissons, à chaque découverte et introduction des membres d’équipages, lorsque Kirk prendra place pour la première fois dans le siège du capitaine dans la mythique passerelle de commandement de l’Enterprise ou encore lors de la découverte pour la première fois du vaisseau lui même. A tous les trekkers, je vous conseil de le voir au moins deux (ou plus !) fois afin de voir tous les détails qui échapperont à la plus pars.
Longue vie et prospérité pour ce film énorme qui va être le film de science-fiction 2009.

Terminator renaissance (Terminator salvation)

© Sony Pictures Releasing France Christian Bale
Terminator renaissance ? La suite et tu me dis quoi.
Enfin cet épisode nous emmène après le jour du jugement dernier, jour où les machines du monde se sont coordonnés pour détruire les hommes. Pour petit rappel, les machines ont décidé de se débarrasser de la race humaine. Une guerre a éclaté. La guerre est tellement féroce, que tout les stratagèmes sont bon pour se débarrasser de ces êtres qui résistent à mourir, les hommes. Après, avoir envoyé des machines dans le passé pour tuer la future mère du leader charismatique, après avoir envoyé les machines dans un autre passé tuer ce même leader adolescent, les machines ont toujours échoués. 2018, John Connor est devenu ce leader qui va peut être mener la race humaine à la victoire. Un jour, alors qu'il doit s'assurer d'envoyer son propre père dans le passé afin qu'il puisse naître, il rencontre Marcus Wright un homme ayant vécu avant le jugement dernier et dont le destin sera lié à Connor. Encore un scénario compliqué, mais qu'il y a t-il de plus compliqué que les histoires et les personnages faisant des bons dans le temps. Certes ce film n'est pas à la hauteur du premier Terminator et de son mythique et légendaire modèle 101 du T-800, mais ce film comble tout de même nos espérances. Les machines sont toujours aussi bien faite et sans pitié avec les hommes. On a beau être comme Connor, connaître le futur (merci Sarah), on a le droit à de bonnes surprises et à d'excellents clins d'oeil, même assez subtile, aux autres films de la série.
Ce n'est pas, une vrai renaissance, mais le film vaut tout de même le détour.

Looking for Eric

© Joss Barratt Steve Evets et Eric Cantona
Quand les mouettes suivent un chalutier, c'est parce qu'elles pensent que des sardines seront jetées à la mer.
La vie d'Eric semble un peu compliqué. Il est au bord du gouffre. Eric navigue entre son emploi de postier, ses fils, sa fille et un première femme qui semble le hanté. Seul son footballeur préféré ne peux apaiser son malheur. Alors c'est tout naturellement qu'Eric Cantona viens lui parler et lui donner des conseils pour s'en sortir. Ce film est de Ken Loach et cet anglais nous a toujours habitué à de très bon films sur des gens ordinaires. Et ce film est encore une petite réussite pour ce grand réalisateur. La star de ce film et l'intrigue de ce film ne semblent pas là ou elle devrait être. Telle est cette grande surprise qui fait de ce film une réussite. La fin est un cataclysme de surprise et ça rien n'aurait pu le prévoir. Un grand bravo à Ken Loach.
Opération Cantona, mais parfois on est loin, très loin d'imaginer ce qu'il en est vraiment.

Jusqu'en enfer (Drag me to Hell)

© Metropolitan FilmExport Lorna Raver
Jusqu’en enfer est un film américain qui a une bande annonce et une histoire qui ne donnent pas du tout envi. Mais voilà derrière ces deux ratés, se cachent quelque chose d’intéressant.
Il était une fois, une jeune banquière dans une succursale d’une banque. Un jour une vielle gitane, vient demander une prolongation sur ses échéances sinon elle sera mise à la porte de sa maison. La jeune banquière, motivée par sa future promotion, annonce à cette pauvre femme que la banque ne peut rien faire. Plus tard, la vielle gitane (oui c’est le monstre de la photo) agresse la jeune fille et lui jette un sort. En trois jours, la jeune fille sera persécutée par un démon qui viendra au terme des 3 jours l’enlever pour la conduire en enfer. Ce qui m’a mit un doute, afin de ne pas rater ce film quand même, c’est que c'est Monsieur Sam Raimi qui a fait ce film. Ce réalisateur avait fait entre autre Spiderman et Evil Dead. Et vous ne serez pas déçu par ce film. Par contre faut le savoir c’est du pur film d’horreur. On est constamment entrain de sursauter dans son siège, même quand il ne se passe rien, tellement on est dedans avec cette pauvre fille qui essaye d’échapper à ce démon. Avec un subtile mélange d’humour noir et de scènes monstrueuses, le film est malgré tout un petit bijou dans le genre.
Pour un public averti, car 100 % horreur.