Bangkok dangerous

© TFM Distribution Nicolas Cage et Charlie Yeung

Avoir un métier ou avoir une vie privée ? Ce film n’est que la mise en scène de ce dilemme !

Joe est un tueur professionnel. Il est d’ailleurs assez doué dans son métier. Mais du coup il subit les inconvénients de son métier, puisqu’il n’a pas d’ami, pas de famille et aucune vie privée. Mais à Bangkok, il va se passer quelque chose qui va changer sa vision des choses. Il va rencontrer des personnes qui vont peut être lui faire changer son opinion. Peut-être qu’une vie privée est compatible avec une carrière. Sûrement, mais est ce que c’est aussi simple lorsque votre carrière est cette d’un tueur professionnelle. Nicolas Cage n’est pas mal dans ce rôle. Par contre, ce tueur ne serait pas à la hauteur face au deux plus grands tueurs que sont Jason Bourne (La mémoire dans la peau, La mort dans la peau, La vengeance dans la peau) et 47 (Hitman).

A voir, pour les adeptes du genre.

Le silence de Lorna

© Diaphana Films Jérémie Renier et Arta Dobroshi
Le silence est peut-être la solution, mais que ce passe t-il lorsque même le silence vous abandonne ?
Lorna est une jeune immigrée Albanaise qui vie en Belgique. Son rêve est de mener tout simplement une vie ordinaire en Belgique. Mais ce n’est pas si simple d’avoir une identité Belge et de l’argent. Elle va donc acheter sa nouvelle vie. Mais à qu’elle prix ? Jusqu’à quand cette femme se terras t-elle afin d’arriver à son objectifs. Cette femme, à la fois dure et sensible nous réserve de bonne surprise car elle est attachante malgré sa dureté envers ceux qui l’entoure.
Ce film est beau et terrible à la fois, aussi bien dans l’intrigue que dans le personnage de Lorna. Mais malgré la froideur de ce silence, elle va nous montrer son humanité.

Babylon A. D.

© 20th Century Fox Vin Diesel
Le futur est parfois facile à imagier, car on peut tout imaginer, surtout le pire.
Toorop un mercenaire se voit charge de convoyer un colis de la Russie à New-York. Ont est dans le XXIème siècle en Russie qui est devenu une Europe de désolation, de pauvreté et de violence. La pègre russe confie une mission délicate à Toorop qui est de convoyer une jeune fille jusqu’à la ville de New-York. Cette jeune fille cache quelque chose de mystérieux et tout au long du parcours, le mystère va nous être dévoilé. Certains acteurs sont de bonnes surprises, mais il y a aussi de pathétiques surprises dans le choix d’acteurs, surtout le ridicule mafieux Russe dont tout le monde reconnaîtra l’acteur, mais je ne vous dis rien afin d’avoir cette ridicule surprise vous aussi. Le plus décevant dans ce film est la fin qui n’est pas abouti. Peu importe l’histoire, ce n’est pas un problème de nous expliquer ou pas ce qui se passe avec cette jeune fille, mais bien la fin de cette intrigue qui reste complètement flou et sans intérêt. Peu être a-t-on voulu laisser un mystère pour une suite, encore faut il que l’on est envi de venir voir cette suite.
Futur, action, médecine, pouvoir surnaturel, secte, apocalypse…Mathieu Kassovitz a vu trop grand avec ce film et il nous perd forcément avant la fin et dommage qu’il est fait quelques copies de films déjà existant, en plus des films Français dont le genre n’est pas la spécialité première. Mathieu, tu as beau avoir du talent, et ce film le prouve tout de même, mais tu n’as pas la carrure pour t’attaquer à ce genre de film, qui est la spécialité des US réalisateur.

Star wars : the clone wars

© Warner Bros. France
Il y a longtemps dans une galaxie lointaine…
L’histoire se situe pendant la guerre entre la République et les séparatistes menés par le compte Dooku et la Confédération du commerce. La guerre fait rage entre les androïdes de combats des séparatistes et l’armée de clones de la République. C’est dans ce contexte de trouble que le fils de Jabba le hutt a été enlevé. Jabba demande su Sénat d’envoyer des Jedi sauver son fils. Master Yoda charge donc Obiwan Kenobi et Anakin Skywalker de cette mission. Skywalker est maintenant un jeune Jedi et se voit attribué la formation d’une jeune Padawan. Il vont tous les deux sauver la vie du petit de Jabba le hutt. De son côté Master Kenobi part négocier avec Jabba le hutt. En effet, l’enjeu est de taille car le clan des hutt contrôle toute la bordure externe. Je ne peux expliquer l’importance du contrôle de la bordure extérieure, seule les connaisseurs comprendront cet enjeu stratégique. Le compte Dooku de son côté tente de convaincre Jabba le Hutt que se sont les Jedi et la République qui ont enlevé son fils afin de contrôler la bordure extérieure.
Je ne vous cache pas que si vous n’êtes pas un peu fan de cette saga, l’histoire ne vous parleras pas. Pour les connaisseurs, vous ne serait pas déçue, car cette animation complète l’histoire. Le film ne nous apprend rien de plus afin de comprendre la saga, mais il nous conforte dans l’histoire et s’intercale très bien entre l’épisode II et III. Pour les novices, il restera un bon film d’animations, mais dont les aboutissements et les intérêts les dépasseront. Néanmoins, même si l’animation reste fidèle à l’esprit de la saga filmée, rien ne pourra remplacer les combats spatiaux et aux sabres des films.

The dark Knight

© Warner Bros Christian Bale
La puissance de ce film est insoupçonnable et surpasse tout ce que vous saviez du Batman original.
Avec Batman Begins, le Batman avait été réinventé. Mais avec le chevalier noir, on atteint quelque chose de plus puissant et plus phénoménal. Begins a mis en place le personnage et la création de cet chauve souris. Mais ce film apporte la légende de ce super héros et fait le lien entre sa création et son devenir. Pourquoi est-il devenu un chevalier noir craint de tout Gotham ? Revenons un peu à l'histoire. Avec Begins, Batman a réussi a sauver Gotham, mais la ville est toujours aux mains des mafieux. Ce film va mettre en place la fin de la prise de la ville par les mafieux. Mais lorsqu'il a enfin réussi, avec l'aide de l'inspecteur Jim Gordon et du nouveau procureur Harvey Dent, voilà qu'intervient le plus méchant et étrange des malfrats, le mystérieux Joker.
On tremble sur le fauteuil à chaque apparition de Batman. Une nouvelle dimension nous est donnée avec ce volet, ce film crée le mythe de ce héros sombre, secret et effrayant qu'est cette chauve souris. Le doute n'est pas possible, ce film est le meilleur sur cet héros dont la crainte et la puissance sont liée à jamais. Les acteurs sont tous excellent y compris le regretté Heath Ledger qui donne au Joker un réalisme de folie incomparable au pathétique Joker original.

Wall e

© Walt Disney Studios Motion Pictures France
Wall e, l’humanité n’a jamais été aussi belle.

Je vous présente Wall e, petit robot qui recycle les ordures. Il a l’aire bien seul sur cette terre abandonnée par les hommes. Les ordures ont envahi la planète et les hommes n’ont pas réussis à la sauver et sont partis. La vie ou du moins la fin de la vie a laissé derrière elle le petit Wall e qui continue sa besoin jour après jour en nettoyant la terre. Mais le petit Wall e n’est pas uniquement une machine. Dans ce monde désert de vie humaine et robotique, Wall e s’est recréé un petit monde à lui et vie en total harmonie avec les ordures. Mais un jour une déesse arrive, un drone de reconnaissance a atterrit sur terre à la recherche d’une preuve de vie. Eve va tomber sur Wall e. Une histoire extraordinaire va alors s’engager avec une véritable et extraordinaire épopée amoureuse entre ses deux machines.
La magie de ce film d’animation est d’avoir réussi à avoir mis tous les sentiments humains dans des robots et enlever l’humanité des humains. Cette animation est fabuleuse.

Je t’aime Wall eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.