Des trous dans la tête (Brand upon the brain!)

© Ed Distribution
Une histoire d’enfance, une simple histoire d’enfance et de famille.
Il revient dans son île natale ou il a grandit. Plus il est sur l’île, plus les souvenirs de son enfance reviennent. En effet, il vivait dans un phare sur cette île avec sa grande sœur et ses parents qui tenait un orphelinat. Cela est une simple histoire de famille, mais dès les premières images, on entre vite dans quelque chose d’étrange voir insupportable. Aussi bien l’histoire, l’image, le son que la manière de tourner. Tout cela ne va pas vous donner envi de voir ce film. En effet, on se retrouve dans un film des années 20 avec une image floutée, des sons assourdissants, des personnages repoussants, une voix off (qu’on a envie de faire taire) et des textes entre deux images.
Enfin bref, ce film tire plus vers l’expérimental que vers un long métrage. Mais tout de même, ce film est une petite réussite par son décalage actuel, comme une œuvre d’art hors du temps qui nous donne tout de même une intéressante histoire…pour ceux qui seront restés jusqu’à la fin de ce projet cinématographique.