La troisième partie du monde

© Amée Melkonian Gaspard Ulliel et Clémence Poésy
L'entropie mesure le degré de désordre d'un système au niveau microscopique. Plus l'entropie du système est élevée, moins ses éléments sont ordonnés, liés entre eux, capables de produire des effets mécaniques, et plus grande est la part de l'énergie inutilisée ou utilisée de façon incohérente.

François tombe rapidement amoureux d'Emma. Un amour simple, beau et naturel s'installe, mais un jour François disparaît. Ce film se résume à de la beauté, et tout est beau dans ce film. Gaspard Ulliel et Clémence Poésy sont superbes, la lumière est d'une pureté et la musique, c'est Jay Jay Johanson. L'histoire se résume à une entropie, de quoi vous perdre. Mais justement, pour aimer ce film, il faut justement ne rien comprendre, ou alors si, il faut juste admettre que l'on ne peut pas savoir.

Un film français rare et une expérience unique.