La frontière de l'aube

© Les Films du Losange Louis Garrel
L’amour c’est la joie, la beauté, le bonheur…mais cela peut être aussi la folie, une drogue, la culpabilité ou même la plus effrayante des sensations humaines.
François croise Carole et en tombe amoureux. Un amour réciproque naît. Mais quelque chose semble ne pas aller. François doute alors que Carole se referme en elle. Le noir et le blanc sont les couleurs de ce film. Tout comme sur la pellicule ce contraste de noir et blanc permet au réalisateur de mettre en évidence, l’amour et la haine de l’amour. Mais à travers ce film étrange et dérangeant c’est plus que l’amour qui y est peint, mais le sentiment de vie toute simple, qui est faite de choix. Choix qui souvent sont noir ou blanc et qui ne laisse pas de place à la liberté de choisir. Je vous le concède, cela à l’aire prise de tête ce film. Et pourtant, non, tout est simple dans ce film, aussi bien que les personnages, les situations, les décors. Tout y est neutre, à part les sentiments ambiguës et dérangeant des personnages. On ressent bien dans ce film l’empreinte de la famille Garrel.
Ce film en noir et blanc, met en évidence le côté destructeur de l’amour. Ce film est dur et nous montre un aspect sombre des sentiments à travers ce scénario aussi noir qu’est la complexité de l’amour.